Imbroglio total sur le cas Christian Atsu. Deux fois annoncé retrouver vivant, l’attaquant ghanéen reste toujours introuvable. Selon des sources bien indiquées, le joueur se trouve entre la vie et la mort plus de 3 jours le drame.
Le bilan continue de s’alourdir après le terrible tremblement de terre qui a eu lieu au petit matin de ce lundi 6 février dans le sud-est de la Turquie. Si plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés, les pertes en vies humaines ne sont pas épargnées. Le cas le plus préoccupant et qui alimente les débats depuis 72h reste la disparition du footballeur international Ghanéen.
En effet, porté disparu le jour du drame, le joueur a été annoncé dans un premier temps retrouvé vivant dans la soirée du lundi par Abola et transmis aux urgences parce qu’il souffrirait de problèmes respiratoires. Une information qui a été rapidement démentie par Alici, un coéquipier de l’ancien joueur de Chelsea et de Newcastle United.
Un nouveau rebondissement intervient !
Contre toute attente, un porte-parole d’Hatayspor, club où évolue Christian Atsu a avoué le mardi matin que le joueur a été retrouvé vivant sous les décombres. Il précise également que le joueur a subi plusieurs blessures et est transporté à l’hôpital en urgence. Mais comme dans une série Hollywoodienne, un nouveau démenti vient de plomber les proches du joueur dans le noir.
Volkan Demirel affirme 24h plus tard que le joueur n’est toujours pas retrouvé.« Les nouvelles que j’ai ne sont pas bonnes, il n’a pas encore été retrouvé sous les décombres », a déclaré l’entraîneur d’Hatayspor aux médias. Plus loin, l’agente d’image du meilleur buteur de la CAN 2015, informe qu’un flou règne autour de la situation d’Atsu.
« La situation est très angoissante ». « il est toujours porté disparu. Le club n’arrive pas à le trouver parmi tous les hôpitaux », a-t-elle déclaré à l’AFP. Ce drame a déjà emporté le gardien de but de Malatyaspor, Eyüp Türkaslan. De même que Christian Atsu, le directeur sportif du club d’Hatayspor Taner Savut, est toujours sous les décombres.
Diany Ben KPOSSOU